Ma femme n’a pas aimé mon selfbondage et m’a réellement mis sous cage de chasteté

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il y a 8 ans

En couple depuis près de 20 ans, nous pratiquons les BDSM de façon épisodique et en switchant de temps en temps. Disons plutôt que Madame switche pour me faire plaisir en me faisant des choses que j’ai envie de vivre. La société qui m’employait a déposé le bilan. Cadre depuis plus de 22 ans, ma prime de licenciement plus les trois ans de chômage me permettent de réaliser quelques travaux à la maison tout en m’offrant de confortables loisirs solitaires, exemple : surfer sur le net, faire du selfbondage, m’offrir des accessoires BDSM comme le coffre électronique Chasteté et BDSM et une nouvelle cage de chasteté.

Gérer ma cage de chasteté ne l’amusait pas, elle oubliait même les clés sur le buffet de la cuisine en partant travailler le matin.... Le gros gag est que je lui ai donné une fessée pour ça et qu’elle a adoré. GRRRR Bon, ok, après, étant très excité, je lui ai fait l’amour comme un fou en manque.

Lundi dernier, après avoir lu des histoires de selfbondage et de domination féminine, j’étais en rut. J’ai donc décidé, en guise de clôture à finir, de me faire un plan de selfbondage sous cage de chasteté. Après avoir mis les clés de ma cage de chasteté dans le coffre électronique programmé sur six heures, je me suis entravé sur le lit avec un plug entre les fesses, des pinces sur les seins avec comme moyen d’auto libération un gros ice-timer contenant les clés de mes menottes.

Je surfais allègrement sur la chaîne fantasme en tirant sur mes entraves et en agitant les fesses sur le plug qu’une sadique Maîtresse m’obligeait à porter quand d’un seul coup, j’ai entendu la porte d’entrée de la maison. Ce bruit m’a fait froid dans le dos, j’ai cru un instant à des cambrioleurs. En guise de voleur, la voix de ma femme m’aussi fait très froid dans le dos ! ! ! Elle criait « chéri, tu es là » ?

Je me sentais mal, mal de chez mal jusqu’au moment où elle m’a découvert nu entravé sur le lit et là, je me suis senti pitoyable.

  • Mais tu fais quoi là ? A crié Géraldine.

  • Un poker chérie, cela se voit non ?

Mauvaise réponse ......, elle était réellement furieuse.

  • Si je comprends bien, pendant que moi je bosse tu t’amuses à t’attacher tout seul. Mais c’est quoi cette nouvelle cage de chasteté ? Je ne la connais pas, tu l’as achetée quand ?

......

  • Et cette boite c’est quoi ? Demanda Géraldine en regardant le coffre électronique posé sur la table de nuit.

  • Et toi, qu’est-ce que tu fous là ? Tu devais partir à Paris pour deux jours.

  • Mon voyage d’affaire a été annulé, le boss nous a libérées puisque la journée était perdue. Si je comprends tout bien comme il faut, tu t’éclates et te fais ton BDSM quand je suis pas là.

......

Et après tu me dis le soir quand je rentre que tu es épuisé quand j’ai envie de câliner. C’est bien ça ?

.....

Furieuse, notre caisse à jouet bien visible lui a donné les envies et idées qu’elle n’a pas quand je lui propose de switcher. Elle en a sorti les deux jeux de pinces à sein que j’aime bien lui mettre malgré ses réfutations puis les a agitées sous mes yeux avec un sourire sadique que je ne lui connaissait pas.

  • C’est pour qui ça ?

.....

Réellement furieuse et décidée à me le faire savoir, elle a tiré sur mes tétons avec ses ongles, pardon ses griffes, puis m’a posé les pinces à sein comme une sauvage. J’ai eu beau lui dire qu’elles étaient mal posées elle n’en avait rien à faire. La deuxième paire de pince a fini sur la peau de mes testicules avec comme commentaire : « c’est comme sur mes lèvres, tu vas adorer ».

  • Alors c’est quoi cette boite avec un minuteur qui tourne ?

  • C’est un coffre programmable, il y a les clés de ma cage de chasteté à l’intérieur. Tu vois bien que je suis sage.

  • Sage pendant encore trois heures et après ?

  • Ben, heu.... après je soulage la tension intérieur qui est la mienne.

  • La tension intérieure qui est la tienne...... mais tu te fous de ma gueule ou quoi ? Si je comprends bien, tu comptais te branler et me parler de ta fatigue quand je serai rentrée.

.......

  • Mon petit chéri d’amour, (voix ironique) je vais donc jouer à la Maîtresse comme tu le désires depuis longtemps sans tenir compte de mes envies de femme. Je te laisse à tes occupations BDSM et vais faire les boutique pour me changer les idées. Amuse-toi bien.

J’ai eu beau lui dire que les pinces à seins étaient mal posées, elle n’en avait rien à faire. Elle a pris le coffre avec les clés de ma cage de chasteté et a claqué la porte de la chambre. Le bruit du moteur qui ronflait et des graviers qui volaient ont conforté mes impressions : elle était vraiment très en colère.

Le but d’un ice-timer est de restituer les clés des menottes avec lesquelles on s’est entravé. Là, il prenait tout son temps et semblait lui aussi solidaire des pinces à sein pour me punir. J’avais les tétons en feu quand la glace a libéré les clés. Retirer ces maudites pinces m’a fait crier tout seul. L’excitation n’était plus non plus, même sans cage de chasteté je ne me serais pas masturbé, l’ambiance n’était plus à l’auto satisfaction. J’ai donc tout rangé et me suis mis au travail en continuant de poser les fils de fer de la clôture. J’avais presque terminé de poser le grillage du mur de derrière quand elle est arrivée avec des sacs de fringue.

  • Oh chéri, tu as super bien avancé, pense qu’après tu dois faire le dîner. Je vais prendre un bain. M’a indiqué ma femme avec un sourire pincé.

J’ai donc terminé de poser ce satané grillage rebelle avant de me précipiter à la maison pour faire un état des lieux de sa colère. En passant, je me suis pris une rasade de whisky histoire de me donner du courage car quand Géraldine est en colère, cela dure et ses reproches tournent en boucle. Elle était dans son bain avec de la mousse jusqu’au cou.

  • Tu es très belle dans ta mousse, ça va ?

  • Non, j’essaye de me délasser et d’oublier que tu t’éclates dans mon dos en mon absence.

  • Oh, ça va, ne me dis pas que tu ne t’es jamais masturbée.

  • Oh si, cela m’est arrivé mais j’ai toujours assumé ensuite contrairement à toi. (Prends-toi ça dans les dents....)

  • Il est où le coffre ?

  • Va faire le dîner, je commence à avoir faim.

Sur le coup, je me suis dit qu’elle avait envie de jouer. Même si j’étais un peu honteux, qu’elle soit ma Maîtresse ce soir là me plaisait bien. Hummm, j’en avais même un début d’érection contrariée pour cause d’étroitesse des cages de chasteté. Pendant que le repas mijotait, je lui ai apporté un jus de fruit. Elle était ravie de cette initiative qui surtout m’a permis de constater que j’avais encore du temps devant moi pour chercher le coffre contenant les clés de ma cage de chasteté.

LA SALOPE ! ! !

Je l’ai trouvé sur la table de nuit de notre chambre, elle avait programmé le coffre sur 10 jours ! Son maximum !!!!!! J’étais furieux et inquiet car je n’avais jamais testé mes cages de chasteté plus de 24 heures.

Je ne sais pas si la colère excite toutes les femmes mais la mienne était déchaînée ce soir là. J’ai du lui brouter le minou à en avoir des crampes dans la mâchoire après lui avoir fait un massage des pieds et des jambes. Et là, alors que je n’en pouvais plus, elle a fait ce que j’adore : elle m’a fait un facesitting. Les deux grosses variables notables entre ce que j’aime et ce qu’elle faisait, portent sur ses griffes dans mes tétons encore très douloureux et le fait que je ne pouvais pas me masturber en même temps. Le nez entre ses fesses généreuses étouffant mes cris, j’ai encore du lui brouter le minou jusqu’à son heureuse et bruyante conclusion.

  • Tu sens la choune ! M’a dit Géraldine après m’avoir fait un bisou avant d’éteindre la lumière et de me souhaiter bonne nuit.

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Ces dix jours me parurent une éternité. Mes premières nuits furent difficiles, je me réveillais souvent avec le Popaul si en forme que c’était comme s’il voulait m’arracher les précieuses. Il y eu d’autres soirées « câlins » et massages version domina et j’ai même pris une petite fessée pour avoir fait brûler un dîner, comme quoi, quand elle veulent, elles savent dominer.

En dix jours, j’ai terminé toutes les clôtures, fini de repeindre les volets et portes, j’ai même attaqué le jardin pour cause d’énergie à évacuer.

Le gros paradoxe que je ne lui ai pas dit dix jours plus tard, c’est que lorsqu’elle m’a retiré ma cage de chasteté pour avoir un rapport sexuel j’étais presque déçu. Le lendemain ma cage de chasteté me manquait.

Ecrivaillon

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